21 février 2006
Poème
Ce couteau pour certain répugnant,
Je le pris délicatement,
Et passionnément,
Je fis le geste qui me répugnait tant,
Et que pourtant,
J'ai voulu depuis si lontemps,
À ce moment,
Mon sang coula doucement,
Sur le sol déja souillé de ma présence,
Mes larmes se mélangèrent au sang,
Qui glissait tout deux avec aisance,
Sur mon corps,dépérissent,
On retrouva mon corps à temps,
Pour me redonner la vie,
Une vie dont je n'avais pas envie,
Et dont je me séparerais,
Dès que je le pourrais.
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